首页 | 本学科首页   官方微博 | 高级检索  
     


Einwirkungen des Alpensteinbockes (Capra i. ibex) auf alpine Rasen
Authors:Ch. Buchli und W. Abderhalden
Affiliation:(1) ARINAS, CH-7530 Zernez;(2) FORNAT, CH-7530 Zernez
Abstract:Zusammenfassung In Begehungen wurden fünf Gebiete begutachtet, die sich in bezug auf die Meereshöhe, Exposition und Steilheit etwa entsprechen, aber von Steinböcken und Haustieren unterschiedlich genutzt werden.Im Gebiet Forcola di Livigno — La Stretta — Monte Ganda (Sommereinstand) wurden keine Hinweise darauf gefunden, daß die Steinböcke Schäden an der Vegetation verursachen würden, die langfristig zu geringerer Bodenbedeckung und zu Erosionen führen (Abb. 1–2). Im Valle del Saliente ist die Erosionskraft so groß, daß die Anwesenheit von Steinböcken nur eine untergeordnete Rolle spielen kann (Abb. 3). Schäden an Weiden und die Förderung der Erosion, verursacht durch Steinböcke, konnten auch am Munt da la Bes-cha und in der Val Chamuera nicht festgestellt werden (Abb. 4–5). Selbst bei kritischer Beurteilung der Ergebnisse kann festgehalten werden, daß Steinböcke in allen fünf begutachteten Gebieten keinen oder nur einen kleinen Einfluß auf die Vegetation und die Erosionserscheinungen in den alpinen Rasen haben (Abb. 6–8).
Impact of alpine ibex (Capra i. Ibex) on alpine meadows
Summary Five regions similar in respect to altitude, exposition and slope, but differing in their use by ibex and domestic animals were evaluated on foot.In the region of Forcola di Livigno — La Stretta — Monte Ganda (summer habitat) no indications of vegetation damage or reduction of ground cover leading to erosion caused by ibex were evident (Figs. 1, 2). In Valle del Saliente the extent of erosion is so great that the presence of the ibex plays a subordinate role (Fig. 3). Damage to meadows or the facilitation of erosion by ibex could neither be observed in the region of Munt da la Bes-cha nor in Val Chamuera (Figs. 4, 5). Even the most critical evaluation must conclude that the alpine ibex have no or very little impact on the vegetation and ground surface of the five investigated areas (Figs. 6–8).

Impacts du Bouquetin des Alpes (Capra i. ibex) sur la forêt
Résumé On compare les fréquences d'abroutissement sur les pousses terminales ainsi que sur les atteintes au tronc dans sept territoires expérimentaux (Tab. 1 et 2). Sur base de plus de 5.000 observations de bouquetins mâles marqués étalées sur une période de 4 ans, on analyse le choix de l'habitat et la fréquence des comportements qui peuvent conduire à des blessures du tronc, notamment par coups et lacérations au moyen des cornes. Il s'avère que, dans deux des territoires expérimentaux dans lesquels, outre d'autres espèces d'Ongulés-gibier, se tiennent également des bouquetins tout au long de l'année, le nombre d'arbres présentant des blessures au tronc est environ deux fois plus élevé que dans les autres territoires (Fig. 1). L'intensité d'abroutissement dans les remises des bouquetins n'est pas particulèrement élevée (Tab. 3, Fig. 2). Dans la colonie de l'Albris/PNS, l'on peut rencontrer tout au long de l'année des bouquetins à proximité de la forêt et plus spécialement au cours des mois de mai, juin et septembre. Les types de comportement correspondant aux coups et aux lacérations (des arbres) et aux piaffements (du sol) semblent avoir le même but et les mêmes causes (Fig. 3, Tab. 5). Entre les fréquences relatives des types de comportement correspondant aux coups portés à la végétation, aux lacérations et aux piaffements, d'une part, et aux combats, d'autrepart, il semble exister une corrélation (Fig. 4). Les deux types de comportement se manifestent le plus souvent en mai-juin lorsque de nouveaux groupes se forment et pendant le rut.
Keywords:
本文献已被 SpringerLink 等数据库收录!
设为首页 | 免责声明 | 关于勤云 | 加入收藏

Copyright©北京勤云科技发展有限公司  京ICP备09084417号